Peu après la guerre, Hariuke, arrive à Tokyo dans l’espoir de devenir peintre. Pour payer ses études, elle trouve un travail chez Goro le neveu d’un artiste peintre célèbre qui a besoin de quelqu’un pour prendre soin de sa fille Momoko qui semble très attachée à une petite chatte baptisée Lala. Goro qui a un vif intérêt pour la belle veuve : Chinatsu.

 Chronique d’une tragédie annoncée. Par petites touches, la tension monte entre les personnages et le dénouement mortel pour certains d’entre eux approche inexorablement. L’histoire est racontée par une Hariuke vieillissante, devenue une artiste reconnue, vivant plutôt en recluse et portant le poids d’un secret terrifiant.

Elizabeth Martin est engagée comme dame de compagnie chez la veuve de son parrain à Londres en remplacement d’une jeune femme qui a disparu, supposément partie avec un homme. Mais bientôt le corps de celle-ci est retrouvé dans les décombres d’une maison sur le chantier de la nouvelle gare en cours de construction. Le meurtre de la jeune dame de compagnie sera-t-il élucidé… 

 J’ai passé un bon moment, je dois bien le dire, d’autant que mes soupçons sur l’assassin se sont avérés erronés et que le suspens est resté jusqu’au bout. L’histoire alterne deux récits à la première personne : celui d’Elisabeth Martin la nouvelle dame de compagnie et celui de Benjamin Ross, inspecteur à Scotland Yard. Le duo est très sympathique à suivre et l’intrigue plutôt bien construite. Cette série compte déjà quatre livres en anglais, s’ils pouvaient être traduits ce serait bien, sinon, je passerai à la VO. 

Jaine Austen gagne sa vie en rédigeant des messages publicitaires. C’est la première fois, qu’un client lui demande une lettre de déclaration pour l’élue de son cœur. Or suite au meurtre de la dite élue, le client en question se retrouve accusé de meurtre. Il est grand temps de devenir détective et retrouver le véritable assassin.

J’ai beaucoup ri avec les délires que peut s’offrir Jaine et ses méthodes parfois farfelues pour obtenir des informations et mener l’enquête. Et pour avoir appeler son chat Prozac, je suis définitivement conquise. Bon, ce n’est pas « LE » livre qui va changer votre vie mais c’est une lecture pétillante et drôle idéale pour les vacances. Certes, c’est de la V.O mais accessible sans trop de difficulté.

Un jeune adolescent retrouvé mort noyé dans les égouts de Bluegate Fields est une situation plutôt banale dans ce quartier très pauvre mais lorsqu'il s'avère que le jeune homme vient des quartiers plus huppés et a été noyé dans une baignoire avant que l'on jette son corps dans les égoûts, là cela devient moins banal...

Je ne vais pas bouder mon plaisir car j'aime vraiment cette série et ses personnages principaux comme les secondaires récurrents. J'ai retrouvé avec jubilation la tante Vespasia et son caractère excentrique, la soeur de Charlotte, Carlisle, bref l'équipe quasiment au complet prête à se battre pour que justice soit faite et que les méchants soient punis. 

Cela dit, j'ai eu comme un flash quand un personnage a été mentionné au cours d'une conversation. J'ai su qu'il était le coupable, et j'avais raison. Disons que le seul suspens était est ce que le malheureux accusé à tort va échapper à la pendaison ou non ? Mais, il y a d'autres raisons d'aimer ce roman. J'ai entre autre adoré, la confrontation entre les époux Pitt en opposition sur l'identité du coupable, cela ajoute encore plus de tension. Un bon cru.

L’enlèvement d’une jeune étudiante américaine met la police de Florence en émoi. L’enquête s’annonce difficile quand on dispose de si peu de pistes.

Oui mais bof, j’avais adoré les deux premiers tomes, celui-ci est vraiment en deçà. Le personnage de Guarnaccia fait de la figuration et les autres personnages mis en avant ne sont pas suffisamment intéressants pour nous faire oublier qu’il manque quelque chose à l’intrigue afin de la rendre un peu plus stimulante. Petite déception donc pour cette fois ci.